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Paquito

mercredi 30 octobre 2013

Ork City Project – Codename: “22 bottles of beer on the wall.” - Par 3T Runtherder

Par 3T RUNTHERDER
Nous avons un projet à long terme en cours pour un client, une ville entière pour ses Orks, environ 22 structures en tout, comprenant des bâtiments de QG, armureries, raffineries, tours de guet, une cantine, une piste d’atterrissage et hangar pour des fighta-bomba, et bien sûr, une arène pour les combats de Squigs.

Nous ne sommes même pas à mi-parcours encore de ce projet, mais nous nous apprêtons à aborder une pièce tout à fait unique, le Pit Fighting Squig. Heureusement, nous avons reçu une bonne dose de liberté artistique pour faire ces morceaux, parce que comme vous le verrez, nos idées ont tendance à « évoluer ».
L’idée a été « bâtir une centrale ork en regardant le dessin. » et voici comment a été transformé ce petit griffonnage 
Nous ne savons pas comment nous arrêter à temps.
Alors, imaginez comment ce concept pourrait évoluer, une arène où les Orks se rassemblent, où leurs squigs s’affrontent dans des combats à mort, lancer des paris et se bousculent les uns les autres dans la fosse, la nourriture captive pour les monstres en cage, avec des chefs de guerre orks, des nobs et les autres regardant les matchs et en jetant des bouteilles d’alcool.
Nous somme parti de deux croquis très approximatifs lorsque nous avons réalisé que cela n’allait pas être une petite pièce, mais une taille nécessaire pour raconter une histoire !  
Le « plan » initial prévoyait un ensemble de 5 pièces, comprenant une arène centrale de combat, deux bases distinctes pour les gradins conçus pour s’adapter contre le mur de la fosse, et deux zones de chaque côté pour les cages des Squigs, postes de garde, kiosque de paris, et une tour d’observation pour le Big Boss et sa suite.
Avec une idée claire à l’esprit, j’ai rassemblé mes croquis me dirige vers la zone de découpe.
 Le MDF ou Médium (Medium Density Fiberboard ou Panneau de fibres à densité moyenne) est un bon matériau. Il a une finition lisse et peut glisser sur la table sans se transformer en petit copeau, et le meilleur de tous, il est vraiment difficile à déformer ou l’ébrécher. Malheureusement, toutes ces qualités rende la coupe une aventure en soi.
Même si cette étape ne nécessite pas un tutoriel, je dois souligner l’importance de la sécurité lors de l’utilisation d’outils électriques de toute sorte. Il y a une raison pour laquelle les soldats du 41e millénaire ont des outils électriques sur l’extrémité de leurs armes : ces choses sont effrayantes. J’ai tranché ma table de coupe sans s’en rendre compte. Portez toujours une protection oculaire et auditive, n’utilisez jamais des outils sous influence, et s’il vous plaît lisez les instructions si vous n’avez jamais utilisé d’outils électriques avant.
Voici les cinq morceaux coupés et poncé. Puis, je sais déjà quelle direction donner à ce projets, j’ai décidé de commencer avec l’arène centrale, de cette façon, si je rencontre des problèmes, je peux faire modifier les autres pièces, plutôt que d’avoir à reconstruire le tout.
Dans mon esprit, le plus important était les herses coulissantes à chaque extrémité, avec des Squigs vicieux et hargneux poussés dans la fosse par des lances, avec des acclamations et hurlements Orks au dessus. Donc, je voulais construire d’abord les portes en premier, et construire le reste de la structure autour d’elles.
Avec quelques plaques de carton-mousse et quelques des lames de rasoir émoussé plus tard, j’obtiens une bonne forme. Maintenant les murs.
Voici déjà mon premier changement à ce moment-là, et il se révélera plus grand que prévu. La décision critique était de rendre les parois de polystyrène de la fosse serait trop mince et fragile pour ce type de structure, donc j’ai modifié les murs à 1" en mousse isolante bleu, donnant l’épaisseur des murs et l’espace suffisant pour construire des passerelles au-dessus.
Oui, cela semble fonctionner parfaitement. J’ai commencé à attacher des morceaux et fini les sorties pour les herses sans aucun problème. J’étais bien parti ! Je me suis assis en arrière avec une expression béate que la colle sèche, le contenu de la direction de ce projet allait.
En décidant d’avoir des murs plus épais, a eut pour effet de pousser toute la structure au bord de la planche et ce qui a eu pour conséquence de laisser que peu de place pour accumuler la saleté sur les côtés qui n’étaient pas si grands.  
MisMuse me posa joyeusement cette question car elle était passé « Je pensais que tu allais faire ressembler cette chose à une fosse ? Ça ressemble à un grand réfrigérateur Ork couché sur le côté. »
« Eh bien, j’ai laissé un peu d’espace sur les côtés, je peux encore en accumuler un peu… » J’ai essayé faiblement d’éviter ce que je savais qui allait arriver, c’était inévitable et le pire, c’est le sentiment de naufrage. Je savais ce que j’allais entendre, et ce que je devais faire.
« C’est juste les murs carrés. Ce devrait être une fosse, tu sais ? Une impression de puit creusé ? Mais si tu veux l’envoyer comme ça, hé vous êtes le patron. »
Puis elle s’éloigna lentement alors que je dessinais mon couteau.
Et trancher ce désastre de ses fondations ! Une autre journée typique dans notre petit studio !
Elle avait sacrément raison. J’ai jeté l’ancienne base de médium au rebus et couper une nouvelle pièce, cette fois beaucoup plus grande, avec suffisamment de place pour placer la saleté et les rochers sur les côtés et faire de cette pièce comme si elle avait été sculptée dans le sol.
J’ai utilisé du polystyrène expansé pour faire la forme des parois inclinées tant à l’intérieur qu’à l’extérieur, et a commencé à esquisser les icônes de crâne sur les guérites juste pour m’aider à visualiser la façon dont la pièce finie ressemblera. 
J’ai aussi décidé que quoi qu’il arrive, cette chose doit paraître réelle, avec des herses qui fonctionne. Je savais que ce ne serait pas amusant ou facile, mais je suis de la génération des jouets des lances missiles chargés, avec des portes et des trappes qui fonctionnaient et des lumières clignotantes. Je désire avoir de l’interactivité dans mes créations et je vais habituellement loin dans ma façon de faire une grosse pièce.
J’ai gravé des encoches dans les sorties et les a pré-peint en noir, sachant à quel point ils seront difficile à peindre plus tard. Dans le même temps j’ai attaqué le coffrage Plastruct et apprêté les canaux que j’utiliserais pour faire glisser les portes en douceur. Je les ajouterai plus tard, puis je fais la texture et la peinture pour éviter de bousiller les canaux.


J’ai taillé le polystyrène aux endroits où je voulais faire des affleurements rocheux, puis collées des ensembles d’écorce décorative, en accordant une attention particulière aux formes pour que ça ressemble à des morceaux écaillés de schiste comme des rochers piqués sur la pente. La pente elle-même est ensuite badigeonnée amoureusement, en utilisant du Spackle (marque US, équivalent à du polyfilla mastic de vitrier). Si vous deviez utiliser du plâtre ou tout autre type d’enduit sur un projet de cette envergure, attention à son poids. Le mastic de vitrier est léger et dur, ne rétrécit pas, et il est vraiment facile à façonner et sculpter. C’est l’un de nos secrets commerciaux, ne dites à personne. (Not.)
Cette étape était relativement longue, travaillant jusqu’aux aurores. Dans le silence sombre de l’atelier, je me suis retrouvé à méditer de ma place dans la vie. Pourquoi suis-je ici? Comment ai-je fini dans cet endroit, à vivre la vie d’un fabricant terrain ? Était-ce l’argent, la célébrité et la gloire qui me conduisait ce mode de vie ? Ou simplement les femmes ? Parfois dans le rythme effréné de tout cela, avec des voitures sportives et des grandes fêtes, la vie passe si vite, on peut facilement oublier ce qui est important.
« Ne jamais oublier, c’est le terrain qui importe le plus. » Mon vieux maître m’a dit lors d’une de mes visites aux sommets du Bhoutan. « La vie souffle en lui, sens-le dans ton âme, et surtout, fais un truc qui déchire ».
Oui, il ressemble au pire gâteau, mais ce fut une étape cruciale.
Mais quelque chose me vint : Avec la nouvelle base, les sections de gradins ne s’encastreront pas sur les côtés. D’ailleurs, je regardais mon croquis original et m’aperçu qu’il était tout faux. Il était trop carré, symétrique et ne pas ressembler à quelque chose Orks, un ensemble jeté au hasard.
Une nouvelle esquisse et nouveau plan étaient nécessaires !

Dans le nouveau plan, je ferais des gradins délabrés intégrées à la structure, et tout donner une impression plus précaire, comme si les Orks avaient saisi des panneaux et les ont attachés juste aux endroits où ils pouvaient voir l’action. Cela rendra la pièce centrale beaucoup plus grande que notre boîte, mais je vais laisser Pedro s’inquiéter à ce sujet.
Je laisse l’un de nos autres artistes passer la couche de base. Croyez-le ou non, il le fait plutôt bien une fois que vous arrivez à concentrer le p’tit gars sur une tâche.
Maintenant, il n’y a un pas plus important d’en prendre soin pendant le séchage de la peinture.
Nous avions besoin de crânes, beaucoup de crânes Orks, humains et autres pour la litière des cages et le plancher de la fosse. Comme j’avais déjà des masters de modèles de crâne sculpté pour un autre projet, j’ai travaillé sur quelques crânes orks en plus. (Ce crâne est seulement partiellement fini, produit final sera plus lisse et mieux défini.)
Vient ensuite le soclage du sol, les pointes dans la fosse, et beaucoup de sculpture sur bois, ponçage les revêtements texturés, nous avons appliqué les premières couches de base de peinture.
Pour certains projets, nous suivons l’ordre logique suivant : construire, détailler/accessoiriser, apprêter, peindre couche de base, surligner. Mais avec certains projets, comme celui-ci, nous devons appliquer une stratégie plus flexible. Ce décors allait recevoir beaucoup de boiseries et détails, et passer un pinceau ou un aérographe dans tous les coins et les crevasses serait presque impossible, et ma règle cardinale pour la peinture que j’inculque à tous mes sbires ou artistes en herbe est ceci : Si vous faites une seule bonne chose, assurez-vous que vos couches de base soient propres !
Tout comme la peinture sur figurine, les décors ont (et devraient avoir) des zones colorées différentes et les plus nettes et plus bien couvert que ce qu’on peut voir, vous obtiendrez un résultat d’autant plus beau. Cela étant dit, nous avons commencé à peindre les boiseries au moment où nous le collons.
Tailler des pointes, des poutres de soutien pour les zones assises, des planches, et autres. Les boiseries étant attachées.
Cette partie est difficile. Nous construisons l’ensemble du décor Ork à un certain niveau de finesse et de solidité. Pour une structure aussi vaste, ça signifie beaucoup, beaucoup de planches de bois, des pointes ou des planches grossièrement taillées, collés sur, puis peints avec trois ou plusieurs couches successives de peinture. Et même couvrir tous les petits recoins où le balsa brut peut apparaître.
Chaque mètre carré de notre sol ressemble à ça en ce moment, dans chaque chambre.
Alors que la colle et la peinture sèche, nous avons travaillé sur certaines des parties les plus importantes, qui distingue ce projet. Rappelez-vous le schéma du crâne que j’ai fait sur une guérite, cela n’allait pas être un détail peint. Nous ne faisons pas les choses à moitié. MisMuse, notre icône experte Ork résidente a commencé à façonner ce glyphe massif en carton plume.
Il n’a pas besoin d’être lisse, c’est surtout pour la forme, et rugueux = Ork.
Le carton plume est juste une sous-structure et la phase suivante consiste à revêtir tout le crâne pour apparaître comme s’il était boulonné avec des ensembles de pièces de rechange et des plaques de ferraille. Cela commence par une plaque de carton plume tailler de différentes formes et textures, collés ensemble d’un semblant aléatoire. 
« Oups, collé le tout à ma main. »
Puis c’est les rivets. On rivète les plaques en collant chaque rivet, certains avec des rondelles. C’est épuisant. Donc j’ai du travailler en appliquant la texture du sol en salissant le tour de la structure.
Rien de magique ici. Juste de la colle à bois diluée avec de l’eau et plusieurs types de sable de jardin. Bien sur je n’aime pas juste jeter la poussière de façon aléatoire, nous avons tamiser du sable de rivière dans trois tailles de tamis différents, en s’assurant que le sable de qualité rugueuse et gravier (en fait des rochers à l’échelle 28mm) s’accumulent autour des affleurements rocheux pour simuler l’éboulement, par érosion géologique.
Ensuite, pendant le séchage, nous apprêtons le crâne, et ajouter de la texture de rouille. Nous couvrirons l’ensemble du processus de rouille dans un tutoriel éventuel. Sérieusement, des livres entiers pourraient probablement être écrits sur différentes techniques pour imiter le métal rouillé.
Notez planches de bois à tous les étages, les gradins commencent à prendre forme, la charpente de la loge du boss également en cours d’assemblage.
Prochaine étape : Le sol de la fosse, les cages, les herses, drame ! suspense ! trahison ! Prochainement…
Après une longue pause, nous reprenons ce projet, mais, vous verrez pourquoi et ce qui s’est passé dans cette arène de combat colossale.
Suite à un « vote », ma cabane Nob a été retirée de l’île. Dans le chapitre précédent, nous avons construit la cabane Nob au-dessus de la plate-forme d’observation. Eh bien Mismuse marchait, prit la structure en bois de balsa et en l’examinant, elle écrasa « accidentellement » entre ses doigts, et a fini par concevoir une toute nouvelle cabane. Heureusement, seul léger recul, et juste un petit exemple du genre de changements que subissent ces projets.
Après la destruction de la cabane Nob, Mismuse a travaillé sur le floclage du sol. Le terrain extérieur a été peint en noir, puis de nouveau peint, puis reçut un lavis noir pour combler toutes petits trous que les deux premières couches ont manqués, puis retouché encore une fois là où les trois couches précédentes ont manquée.
Le sol à l’intérieur dans l’arène était floqué avec un grain plus fin, pour représenter la poussière et la boue des combats qui s’y déroulent.
Après la peinture sur la colle PVA diluée avec un vieux pinceau, elle saupoudre du sable finement tamisé le sol ‘intérieur.
Pour accélérer le temps de séchage, le modèle a été placé en face d’un ventilateur (ou les restes cabossés d’un ventilateur.)
Pendant qu’il séchait, elle a ensuite commencé à découper des petites branches naturelles en pointe, que j’ai apprêtées en noir. Les arbres Mesquite sont mes favoris parce que l’écorce a une peau très fine et grossière qui attire beaucoup de détails quand elle est peinte.
Les bâtons pointus sont encastrés sur les côtés et les coins de la fosse de combat, ils étaient là pour garder squigs voraces et d’autres prétendants désespérés et éviter qu’ils grimpent et attaquer les spectateurs en liesse. Ils ont également un air méchant et Ork. Les pointes ont été accessoirisées avec des piles de crânes et d’ossements de certains de mes rabiots, et le tout a été mélangé avec un peu de sable grossier autour de la base des pointes et des os. Enfin, Mismuse a versé de la colle à bois diluée dans la fosse, ce qui donne une grande piscine laiteuse avant de jeter des poignées de nos meilleures qualités de sable/poussière dans la fosse, faisant un grand gâchis boueux. Oui, j’ai été un peu rebuté à cette technique, mais elle a promis qu’elle savait ce qu’elle faisait.
La colle avait à peine commencé à sécher lorsque Mismuse a commencé à peindre en noir. « C’est de la folie! » J’ai crié, mais elle a simplement haussé les épaules et mit le tout en face du ventilateur de nouveau. J’ai des valeurs enracinées dans mon métier : ne jamais utiliser des matériaux excessifs ou peindre quelque chose sur une surface humide, c’est pourquoi nous avons des ventilateurs et sèche-cheveux partout. Comme nous travaillons un certain nombre d’heures sur plusieurs projets chaque jour, nous devons accélérer le processus de séchage pour bien progresser et respecter nos délais. Parfois, l’atelier est une cacophonie rugissant de ventilateurs et de sèche-cheveux, et bien sûr le climatiseur pour compenser toute la chaleur générée. La facture d’électricité est souvent étonnante.

Tandis que l’intérieur a finalement commencé à sécher, Mismuse a commencé à peindre le sol à l’extérieur. Elle a commencé avec une couche de brun cannelle mélangée à une petite quantité de gris foncé. Elle a ensuite appliqué cette couche généreusement, même diluée par endroits, mais attention à laisser le plus de texture profonde pour les roches noires. Des éclaircis progressifs ont été ajoutés en utilisant des tons de brun léger mélangé avec du gris léger. Ces éclaircis ont été fait dans des motifs tachetés, et par endroit devaient être soigneusement assombris avec des lavis pour garder la couleur du sol naturellement varié.
Mismuse a ensuite commencé à travailler sur le terrain intérieur, en utilisant la même couleur de base, mais travaillant avec des tons de couleurs plus de gris clairs et sables.
C’est là où a commencé à se révéler sa tactique humide sur humide. Le séchage rapide de la boue et de la colle avec la peinture sur le sol elle a fait une texture compacte, comme de la boue séchée, terminée avec de minuscules fissures partout. Je ne pouvais pas vraiment prendre le plein effet sur cette image mais il est là.
C’est à mon tour sur le ring. Les roches ont reçu un lavis de la bonne vieille encre GW chestnut. Je voulais que les roches aient un bon contraste avec le reste du modèle, alors j’ai décidé de les rendre vermeille rouge/brun.
Après le lavis, les rochers ont reçu un semi-brossage à sec en roux, une couleur rouge/brun, puis mis en évidence avec roux mélangé avec l’éclaircit du sol. La palette de couleur similaire permettra de lier les rochers sur le sol autour d’eux.
Pendant que je travaillais sur les rochers du sol extérieur, Mismuse a commencé à assembler les morceaux de métal et la nouvelle cabane Nob. Le nouveau design devait être boudiné avec des barrières métalliques lourdes autour de la plate-forme. C’est une fosse de combat, oui, mais il faut aussi être défendable dans le cas d’une attaque à l’intérieur ou à l’extérieur de la fosse. Sa construction est basée sur mon dessin plus haut.
Le processus de pose de rivets est fastidieux, pénible et ingrat. Les rivets que nous utilisons habituellement des tiges en plastique sont coupées en tranches de formes différentes, que ce soit carré, rond ou hexagonal, dans différentes tailles. Pour l’Orkitechture, nous utilisons toutes ces formes. Mismuse aime utiliser la pointe d’un cutter pour ramasser le rivet et trempez le dos dans une petite goutte de colle cyano avant de l’appliquer, je préfère utiliser des pincettes. Je pense qu’elle aime juste les choses qui coupent.
Ensuite, il était temps de peindre le crâne. Comme tous les bons morceaux métalliques, j’ai apprêté en toute la chose noire et prête à peindre dépouillé, non peinte comme un vieux métal rouillé tiré d’un dépotoir.
Ensuite, je lui ai donné une couleur de base. Ce carré dans le coin supérieur gauche avec les rayures brunes dessus, c’est ma palette de test pour différentes nuances de couleurs rouille que j’utilise, peintes sur une couleur de base noir. Cela m’aide à décider comment éclaircir ou foncer. Dans ce cas, j’ai choisi un Vallejo sombre rouille, mais la plupart des marques de terre d’ombre brûlée serait un bon choix aussi.
Maintenant, j’ai utilisé un crayon graphite sur la surface métallique lisse et avec mon doigt je sali le graphite partout dans le crâne. Les bords et les rivets posés pris le plus de graphite, les faisant briller plus. Je voudrais encore améliorer la brillance avec un brossage à sec d’argent pur autour de certains bords et des rivets. J’ai utilisé un petit peu de pigments MIG "Dark Mud" émulsionnée dans la térébenthine et appliqué un léger lavis autour de certains des rivets et zones texturées. L’effet serait déjà presque parfait pour certaines applications, et il ressemblait à un vieux fer terne avec de la poussière collectée dans les recoins. Mais ce n’était pas une demande ordinaire, c’était une icône Ork et nécessaire pour vraiment montrer une certaine négligence et insouciance.

Maintenant nous parlons ! J’ai utilisé le reste de la gamme MIG de couleurs rouille de la même manière, progressant vers des tons plus clairs et plus léger de rouille dans les petites parcelles comme si le crâne a été exposé aux éléments, à la saleté, oxydé par les fumées et la pluie. J’applique à quelques plaques un lavis avec de fines couches d’encre noire pour faire une impression moins uniforme. Puis j’ai mis le crâne de côté pour l’instant.
Ensuite, j’ai travaillé les herses. J’ai coupé des morceaux de guide à tricoter et inséré quelques canaux en H Evergreen en plastique dans, j’ai abonné les rainures sur les murs intérieurs. Je voulais ces portes utilisables, ou au moins être en mesure de glisser vers le haut et vers le bas. Il a donc fallu un peu de magouille et de découpe, et je suis satisfait du résultat, même si j’ai dû couper le filet dans une forme légèrement étrange pour travailler. Quand je suis sorti faire quelques courses, Mismuse a jeté mes herses et en a fait de nouvelles, mieux ceux qui coulissent mieux et avait des plaques de métal, des pointes et des rivets. ‘Soupir’.
  Bon, puisque nous sommes sur le sujet, nous allons parler des guides de tricot. Ils sont des feuilles à mailles carrées vendues dans les magasins de bricolage et de loisirs et créations, parfois appelée « mamie grille » par les constructeurs de terrain. Ils ne sont pas cher et sont d’une taille idéale pour de nombreuses applications miniatures 28mm, mais ils ont quelques défauts. Tout d’abord, ils sont faits de vinyle et toutes les sous-couches ne vont pas accrocher. Ceci est résolu en ponçant complètement avec un papier de verre à grain moyen avant l’application. L’autre question est que ces feuilles ont parfois des flashs qui sont si mauvaise qu’elles remplissent littéralement l’intérieur des carrés avec un film mince. La solution à cela est tout aussi simple d’un briquet ou autre petite flamme agité brièvement sous le caillebotis fond tout le flash tout de suite. (Mais vous aurez probablement besoin de poncer à nouveau après.)
Le résultat final après ponçage et flash brûlé. La zone sombre est l’endroit où j’ai tenu la flamme trop longtemps et le vinyle a commencé à brûler. Ce qui était parfait, car il ressemble en fait plus à de la ferronnerie brut avec un peu de texture. << DANGER ! Soyez prudent en utilisant du feu, en particulier dans un environnement de loisirs où il peut être exposé à des solvants et des peintures inflammables et autres dangers. Le plastique fondu dégage des fumées toxiques, utilisez une ventilation adéquate. >>

Maintenant Mismuse a commencé à mettre en place un autre élément essentiel, les cages des squigs. En utilisant du balsa, du Plastruct, des cure-dents, des outils de coupe et de calme, zen discussion, rompu seulement par vif et glaciale jurons, elle a fait une impressionnante variété de cages, ainsi qu’un gros tas de pièces "métalliques" et accessoires pour la fosse de combat.
Voici quelques pièces déjà sur mon bureau pour « métallisation » et le traitement pour rouille. J’ai commencé à recevoir un flot ininterrompu de pièces pour la peinture. Certaines pièces que je reconnaissais comme des parties de mon ancienne cabane Nob.
Et voici les morceaux en cours de finition. Chacun a été rouillé de la même manière que le crâne, en utilisant des poudres MIG et du graphite, et un peu d’argent pour le brossage à sec.
La nouvelle cabane Nob au sommet de la tour de guet en vedette et une apparence beaucoup plus solide, avec une toiture en tôle ondulée rouillée, et en général les Orks ont un style légèrement fantaisiste que nous aimons tous dans les bâtiments orks, et que Mismuse a un sens inné à saisir parfaitement, à chaque fois.
A différents points de la fabrication, nous éclaircissons les éléments en bois, ce qui était une tâche ardue. Sur les pointes et les parties exposées supérieur du bois, nous avons fait un éclaircissement de cannelle sur un miel brun et sable pour les bords mêmes. Nous avons fait la même chose avec la partie crépie du bâtiment, qui met en avant les reliefs. Puis, nous avons travaillé à divers endroits, parce qu’il y avait trois principaux domaines de peinture : le bois, les murs et le sol. Et chaque fois que vous faites un éclaircis sur les murs en crépis par exemple, vous devez alors retoucher le bois parce que l’éclaircis sur le crépi a tendance à déborder. Ensuite, lorsque l’on travaille sur le sol, les murs doivent être retouchés car l’éclaircit du sol doivent être nettoyés, et ainsi de suite.
Voici Mismuse est à nouveau à l’œuvre sur le bois après avoir travaillé sur le crépis, probablement à une heure surnaturelle de la nuit ou du matin. Afin de garder l’aspect global du projet propre et nette, ce processus de mise d’éclaircis et de retouche devait être fait plus important, et encore et encore, généralement avec un pinceau fin.
Et voici le résultat jusqu’ici. Cette chose est loin d’être fini. Sérieusement, quand je dis que nous ne savons pas comment faire quelque chose à mi-chemin, je veux dire, c’est quelque chose de pathologique. Nous avons besoin d’aide.
Quelqu’un peux nous aider ?
Les voix, les voix qui nous disent à... à... faire Squigs, ajouter échelles.... doit.... fils pour lumières ! d’11sghfhfg
Mismuse a continué à fabriquer des tas de morceaux de tôle. Nous avons décidé qu’il devrait y avoir beaucoup de ferronnerie dans une structure de ce genre, des plaques et des renforts sur les murs et autour des passages où de grandes bêtes en colère pourraient y être poussés, propulsant des bouts de crépis à gauche et à droite.
Et une fois finies, elle me passa les pièces pour l’apprêt, la peinture et la rouille. De temps en temps, je demande comment finir une plaque, afin de faire la zone de rouille aux bons endroits. Certaines plaques que j’ai faites avec de la rouille, d’autres seulement légèrement rouillées ou tout simplement poussiéreuses.
Les pièces finies ont ensuite été restitués à Mismuse pour l’assemblage. Le reste du projet allait aller comme ça, les sous-ensembles étant construit, peints et assemblés.
Les allées et des sièges ont reçu plus de pièces en dehors et autour, comme des plaques de métal, des barrières défendables. Des poutres de soutien supplémentaires sous les gradins sont ajoutées, et le tout commençait vraiment à s’animer à cet instant, mais ce décor a vraiment besoin d’un peu plus de détails uniques et accrocheurs.

Mismuse a commencé à travailler sur quelques-uns de ces détails, ainsi que les escaliers et les échelles supplémentaires qui devaient être attachées autour de la structure. A ce stade, tout est peint et complètement éclaircis avant d’être assemblé.
Certains éléments, comme les planches de bois sur cette image sont sous-couchées en noir et peint dans un mélange gris/brun plus sombre afin de procurer plus de contraste.
Et quelle est cette planche vous demanderez-vous ? J’ai demandé aussi que Mismuse l’accroche sous la cabane Nob avec quelques œillets de bijoutiers. Des « clous » ronds ont été enfoncés dans le balsa pour être mis en évidence. Elle a promis que ce serait formidable.
Elle a également commencé à travailler sur le placement des différentes cages à ce stade.
« La cage est à l’envers. » Ai-je fait remarquer.
Elle m’a jeté un de ses regards et m’a alors expliqué qu’elle travaillait toujours sur le dessus des cages, et ne les refermera qu’au moment où elles seront « occupées ». Je reculai lentement de peur que quelque chose d’autre ne soit « accidentellement » détruit.
Et puis retour aux planches. Ahah ! Son plan est clair maintenant ! Les glyphes Orks disent « SKOR », je crois, et apparemment, le dernier match ne s’est pas bien déroulé pour les humies.
Puis c’était à mon tour de faire quelque chose de spécial, et j’ai choisi de faire un poteau avec un projecteur et haut-parleur. Bien sûr les projecteurs allait vraiment fonctionner, avez-vous vraiment besoin de vous le demander ? Je suis sorti et j’ai acheté une LED 5mm blanc, puis je suis revenu et j’ai commencé à fouiller dans nos vastes réserves de rabiots. J’ai trouvé le réflecteur d’une lampe de poche de jouet, qui avait déjà la forme et la taille, avec l’intérieur réfléchissant, parfait!
J’ai fait une pièce transversale sur une cheville en bois, puis commencé à monter les pièces ensemble. La LED a été collé sur un petit morceau de carte plastique avec deux trous pour les fils au dos, puis collé le tout dans le réflecteur. Deux tubes plastiques coupés font un bon conduit de sorti à l’arrière. J’ai fait en sorte de souligner et marquer les fils positif aussi, j’aurais besoin de savoir plus tard lors du cablage des résistances.
Je façonné le haut-parleur avec un rabiot en résine que j’avais, avec la fin de l’intérieur du pistolet zoid. Une fois assemblé, j’ai testé l’emplacement et puis satisfait que cela fonctionne, j’ai terminé les rivets, apprêté et peint.
Après qu’il ait été peint, je l’ai altéré et rouillé. Le mégaphone a été peint en blanc cassé écaillé en utilisant un fluide de masquage. J’ai fait un fil sortant du dos, mais contrairement aux câbles pour les projecteurs, les fils de l’enceinte étaient juste décoratifs. J’ai longuement réfléchi, et j’ai décidé de ne pas essayer d’en faire un haut-parleur fonctionnel. (Cela exigerait de faire un ork avec des boîtes vocales électroniques fonctionnelle, et que c’est juste une boîte de Pandore que je ne voulais pas ouvrir.)
Toujours en cours ! Il est facile de commencer un grand décor et de penser « Ça va être tout aussi facile qu’une petite pièce, les composants sont juste plus grands. » Mais la réalité est que, pour garder l’échelle et le niveau de détails précis, il est nécessaire de donner à chacun une attention particulière. Nous continuons à le regarder et dire des choses comme « besoin de plus de placage là » et « pourquoi ne pas ajouter un réel honneur et après ? ». Ceci faisant augmenter la somme du temps de travail de façon exponentielle. Mais aussi, nous nous amusons.
Depuis le projecteur qui était une partie à part entière, je devais trouver un endroit pour cacher la batterie et le câblage. J’ai choisi la guérite opposé au côté de l’icône du crâne en métal, ciselé et un carré de la structure du carton plume.
Puisque la guérite était grande, je ne pouvais pas y mettre la batterie sur le côté, personne ne serait jamais capable de l’atteindre sans forceps ou quelque chose. J’ai fait quelques murs en carton plume à l’intérieur, juste pour faire un emplacement pour la pile 9V. Avant de fixer les murs, j’ai fait une petite ouverture sur la partie inférieure pour l’interrupteur.
L’interrupteur est un simple interrupteur on/off. J’ai fait une bride en carte plastique autour du bord et collé à l’interrupteur sorte que le tout ait plus de surface pour le coller contre le mur. J’ai choisi de monter l’interrupteur dans un endroit semi-caché juste sous le seuil de porte.
Après l’interrupteur, j’ai fait une petite plaque avec des trous pour les fils, et percé un trou rond pour le poteau dans le plancher de la structure, pour l’insérer.
Maintenant, je câble les fils enfin réunis. La seule LED blanche est à 270 ohms de résistance pour une pile de 9V. Il y a beaucoup de sites internet qui vous aident à calculer la formule. En fait, il y a des sites internet pour toute les connaissances que vous devez savoir à propos tout et n’importe quoi. Un jour, nous serons tous marchons branché directement sur Google pour lui demander tout ce qui concerne tout ce que nous voyons, trop paralysé pour se déplacer sans être d’abord dirigé une page Yahoo avec tutoriel pour marcher.
Ce jour-là, les machines auront vraiment gagné.
L'interrupteur était en place, et fermement assemblé avec une colle époxy bi composants. J'ai essayé de le tester quelques fois et j’ai réussi à mettre de l’époxy dans le canal de fonctionnement de l’interrupteur, même si j'ai essayé de l’éviter, en chantant littéralement « Ne pas coller les contacts, ne pas coller l'interrupteur. » Eh bien, heureusement que j'avais une boîte entière de commutateurs.
Après le remplacement de l'interrupteur, je branchais les fils dans le couvercle de la plaque, et collé le poteau avec de la colle à bois. Fondamentalement, une colle à bois spécialement conçu pour le bois. (J'ai temporairement câblé la batterie et les résistances à la LED pendant que je positionnais le poteau, pour s'assurer que la lumière allait atterrir là où nous en avions besoin.)
Je ne voulais pas un trou béant sur la guérite, j'ai donc modifié le plancher, perforé avec des bandes de carte plastique et riveté, puis fait une trappe avec une charnière fonctionnel en glissant un bout de fil de fleuriste de gros calibre dans un tube plastique et à la tordu aux extrémités. J'ai fait un peu plus de portes pour que je puisse les apprêter et les peindre toutes à la fois.
J’applique une couche de base de terre d'ombre brûlée, puis de la poussière de graphite, des pigments MIG et de la térébenthine. Un brossage à sec d'argent finale sur les bords et je colle les portes à l'intérieur des guérites.  
Ces portes donnent l'impression d’un accès à l'espace intérieur dans l’arène.
Voici la trappe et le plancher finis. J'ai utilisé ma perceuse manuel pour faire des trous dans le plancher, puis enfoncer à l’extrémités la charnière dans le carton plume à l'aide d’un peu de colle expansive pour s'assurer qu'il n'y a pas de jeu.
Et à l’intérieur. Facile d'accès pour les changements de pile ou des futures modifications. Maintenant, la dernière étape a consisté à tester.
Éteint, il ressemble à un très beau support.  

Et allumé, nous avons de la magie !
Pardonnez la piètre qualité de la photo, c'est une lumière faible avec la fosse illuminée uniquement par le projecteur. On dirait un décor de théâtre pour un spectacle macabre, non ?
Profitant de l'éclairage supplémentaire, j'ai commencé à peindre les détails dans la fosse, en commençant par les pointes. Un mélange gris foncé/Terre d'ombre brûlée pour l'écorce, qui est mis en valeur avec un peu de couleur sable. Les pointes qui étaient sculptées, plus récemment, ont été peintes dans les mêmes tons que le bois de la fosse pour une touche de couleur.
Or, à ce moment-là, il y avait un virus qui a fait rage dans l'atelier, et, malheureusement, j'ai été le prochain à succomber à la peste. Après quelques jours avec de la soupe au poulet et des quantités imprudentes de Nyquil, je posterais la prochaine mise à jour de cette pièce sans fin !
Dans notre dernier épisode, nous avons câblé le projecteur à LED. Maintenant, après une courte pause pendant que nous étions tous aux prises avec la grippe, nous allons entrer dans la dernière ligne droite pour terminer ce projet. Nous avons eu une quantité ridicule de petites pièces, d’accessoires et de détails pour finir et après avoir fait quelques concessions sur ce que nous pourrions raisonnablement terminer et ce que nous devrions laisser de côté ou prendre d'autres projets, dont je parlerai plus tard.
La cage à squig était la priorité, je peignais son occupant et épinglé ses pieds aux barreaux du sol. Une tâche assez facile dans le concept, surtout si vous avez déjà épinglé des pièces ou des bases avant, mais j'ai vite appris que je ne pouvais pas mettre deux doigts dans la cage à la fois, ce qui fait que guider un petit foret sur le pied du Squig, sur une tout aussi minuscule tige, à fait que la colle à recouvert le fond de la cage, un long calvaire d’une heure.
Je tendis la cage à Mismuse, qui perça des trous sur le haut de la cage et utilisa une chaîne, des oeillets de bijoux, et des anneaux métalliques pour façonner un système de suspension en 4 parties avant de mettre un couvercle sur la cage, scellant le petit gars à l’intérieur (jusqu’à son tour de combattre sans doute.)
Ici, la cage est suspendue, mais les chaînes ont encore besoin de peinture et de rouille. 
Mismuse termina la boiserie pour la guérite en face du crâne en métal, y compris les morceaux de cheville en bois pour les poutres « pueblo » qui sortent du mur.
Alors qu'elle travaillait sur des pièces finales de boiserie, j'ai commencé sur une pile d'échelles, en bois et en métal pour placer tout autour des murs pour l'accès aux gradins et zones supérieures et inférieures. Les échelles en bois ont été sculptés simplement en balsa, celles qui sont métalliques avec du Plastruct de canaux en H avec de barreaux de 1" en gros fil de fleuriste collés dans des trous forés à travers les canaux avec une perceuse à main. Les barreaux étaient enfoncés et faits délibérément inégaux par endroits. Stupides Orks.
Les échelles en bois ont été « cloutées » avec notre brosse métallique, puis peintes par Mismuse, me laissant faire le travail du métal.
Et encore des plaques métalliques ! Je devrais vraiment essayer de compter combien ont été fabriquées dans ce projet. J'ai peint et rouillé les chaînes également, et les échelles métalliques, et des morceaux de revêtement de sol. Ce lot est ici encore humide avec de la térébenthine de la première et le plus sombres lavis de la rouille et de la crasse.
Ensuite, tandis que les plaques séchaient, j'ai travaillé sur les bannières, drapeaux et banderoles que nous envisagions festives sur cette pièce dès le début et lui donner cette ambiance.
J'ai utilisé un papier et fabriqué à la main une texture lisse et des déchirures assez aléatoires. J'ai pensé que ça simulera à petite échelle le tissu. Je coupais les formes, entaillais les bords de l'usure et ensuite j’utilisé un stylo Rapidograph pour définir les motifs sur les bannières. Les poteaux ont été faits à partir des chevilles et de brochettes, en sculptant des aspérités et mis des tubes en plastique pour simuler les jointures et les supports.
J'ai peint les banderole avec de la peinture Vallejo. Pourquoi ne pas imprimer les bannières et d'économiser beaucoup de temps et d'énergie me demanderez vous ? Parce bannières imprimées n'ont pas de caractère ! Ceux-ci étaient censés donner l'impression qu'elles ont été peintes par des grots gai et heureux d'avoir l'occasion de faire autre chose que de se faire lancer dans des fusées ou écrasé sous les pieds Krabouillator.
J'ai peint des drapeaux, des banderoles et bannières, puis appliqué lavis léger pour l’ombrage et intempéries sur les bords, ainsi que des tâches. Le drapeau sur la gauche (qui est à l'envers dans cette image) montre les glyphes pour « fête foraine », « Squig », « duel » et « gore/violence ». Cela devrait faire passer le message pour cet endroit.
Plus de poteaux, de banderoles jaunes et rouges, un grand drapeau avec une photo d'un « Squig dangereux » et ces choses dans le fond empalé sur le bloc partiellement fondu de polystyrène sont de petits morceaux de tube en plastique à utiliser comme les stands de bannière, étant amorcée et peint le tout sur des cure-dents pour les maintenir en position verticale.
Voici les bannières et les poteaux finis. Qu'est-ce que à droite ? Argh ! C'est un empilement de plaques métalliques en attente d'être peint. Je retourne à la table de peinture et sorti le truc métallisant de nouveau.
A ce stade, j’avais fini. Je veux dire, vraiment, j'ai eu quelques étapes supplémentaires pour terminer ce monstre une fois pour toute. Je sentais que si j'aoutais plus à ce projet, il serait devenu la Maison Winchester de projets de décors. Nous avons retiré du projet des dizaines de pièces prévues pour réduire la quantité de travail.
Alors, quand Mismuse m'a demandé de faire des petites bannières de drapeau en triangle, je n’étais naturellement pas très réceptif à l'idée, et fait semblant de ne pas l'entendre au premier abord. Mais elle a insisté qu'il serait vraiment, vraiment un plus pour l’aspect final, j’ai donc accepté à la condition qu’elle les fabrique et je les peindrais.
C'est le chat asthmatique de Mismuse, Noodle, toisant une création plus étonnante, évidemment faite juste pour lui, des petits bouts de papier, collé à une chaîne ! Ah Petit !
Oui, j'ai peint les maudites choses.
Il était enfin temps de commencer l’érosion. C'était la dernière ligne droite, mais une grande ligne. En utilisant de l'encre du chestnut et fleshwash mélangé à du noir dans des proportions différentes, je suis allé autour de la base de la structure, salir le crépis, et en ajoutant des stries et des dégâts d'eau.
J'ai eu une attention toute particulière pour les parties en saillie sur les murs, où la rouille et la crasse se délavait au fil du temps. Pour le vit, éclaircir les murs en crépis mais je n'ai pas trop insister pour faire ressembler à une ruine ou la pluie a coulé sur brûlé.
Dans la fosse, j'ai ajouté des taches et des éclaboussures de couleur rouille sombre et dans les tons rouge marron sur le sol et les murs. On peut imaginer pour comprendre ce qui provoque ce genre de « désagrégation ».
Oh oui, les crânes et les os. Je les ai finalement peints aussi. Snakebite leather/bleached bone/white, avec quelques crânes dans les tons de gris pour donner l’impression d’os de différentes époques.
Les derniers petits morceaux de garnitures en métal ont été ajoutés tout autour , puis les nombreux rivets nécessaires qui devaient être retouchées avec juste un peu de bronze et d'argent pour qu'ils puissent se démarquer.
Et dans la nuit. Chaque fois que je pense que c'est enfin terminé, je remarque un petit morceau de plastique nu qui devait être retouché, un rivet j'ai raté, un morceau de bois avec une erreur, etc…
Certaines des choses que nous avons fini par laisser sur le plancher de la salle de coupe, pour ainsi dire, étaient les multiples cages du dessin original, les treuils de travail pour tirer les herses en place, un grot personnalisé accrochant un tableau de score avec un pinceau à la main, des tas d'ordures en dehors et sous les gradins, des éclaboussures détaillées et des texture visqueuses et gores utilisant une épaisse résine teinte et beaucoup plus de crânes accroché à des chaînes et sur des piques autour de la fosse , ainsi qu’une poignée de Squigs sculptés, et de nombreux petits morceaux encore et encore. Certains de ces pièces, comme les Squigs personnalisés que nous inclurons dans d’autres projets, un morceau de petit compagnon à celui-ci qui nous terminerons plus tard. Mais l'ajout de tous ces éléments aurait retardé ce projet beaucoup plus loin au-delà de nos délais de livraison, et n'aurait pas été très rentable pour une seule pièce, même de cette taille. (En outre, à la demande populaire, nous allons travailler sur un stand de tacos Squig comme une petite pièce séparée. Arrêtez s'il vous plaît me harceler à ce sujet tout le monde.)
Et c'est tout, nous avons finalement terminé. 
Ceci est un pas à pas avec mon esquisse révisée. Certaines choses sont enlevées, certaines choses ajoutées, mais presque tout y est. Je suis très heureux avec la façon dont ça c’est passé, et je serai triste de le mettre en boîte et le voir partir.
Un merci tout spécial à Mismuse, sans qui je n'aurai jamais pu faire ça seul, ou fait resortir le style horriblement Ork.

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